L’INGÉNIERIE SOCIALE DERRIÈRE LA MULTIPLICATION DES VACCINS OBLIGATOIRES

Cet article est un extrait traduit au français de notre investigation complète uniquement disponible en espagnol intitulée Eugénésie, Ingénierie Sociale, Conductisme, Réduction de Population et Autres Expérimentations vers la Servitude Volontaire

vacine_poison123La question de la multiplication des vaccins, cette polémique dépassant les frontières et régulièrement remise sur la table par nos gouvernements, est sujette à de grandes controverses due aux importants dommages que ces injections obligatoires génèrent sur notre fonctionnement cérébral. Aux Etats-Unis, le taux de vaccination des enfants est plus important que dans n’importe quelle partie du monde, suivi de près par la Chine. Les petits américains reçoivent autour de 46 différents anti-allergènes avant de rentrer à l’école, entre 26 et 30 avant l’âge d’un an, une pratique jugée très nocive pour le cerveau par de nombreux scientifiques depuis plusieurs décennies alors que le gouvernement fédéral continue d’impulser de nouveaux vaccins en collusion avec les compagnies pharmaceutiques qui en tirent de gigantesques bénéfices financiers.slowkillvaccine_550x488  Une récente étude faite par Neil Miller met en relation la mortalité infantile entre 1 et 5 ans dans le monde avec le nombre de vaccins qu’ils auraient reçu et c’est une directe « dose-réponse » dans chacun des pays examinés. Par exemple, les Etats-Unis ont l’indice de vaccination le plus élevé du monde et siègent en même temps à la 44ème position mondiale en matière de santé infantile, ou en d’autre terme : de mortalité infantile. (Infant mortality rates regressed against number of vaccine doses routinely given: Is there a biochemical or synergistic toxicity?)

bb1Des chiffres préoccupants qui correspondent également à l’introduction de nouvelles pratiques sanitaires et agroalimentaires telles que l’ajout systématique de Fluor dans nos eaux courantes, le sel industriel ou les produits en relation avec l’hygiène buccale ou encore l’Aspartame que nous pouvons retrouver dans des milliers de produits de consommation quotidiens, pratiques qui ont toutes un point en commun: elles interfèrent avec le développement du cerveau. A continuation, l’enfant rencontre des difficultés pour apprendre qui se transforment vite en problèmes du comportement et son cerveau ne peut plus se développer normalement.  index1Cela s’est produit et continue de se produire à une très grande échelle si l’on considère que 90% des enfants des pays développés reçoivent un grand nombre de vaccins. Une fois de plus, malgré le fait que nous disposons d’accablantes évidences qui pointent toutes à ce qu’il s’agisse d’une pratique nuisible pour le cerveau en développement, les autorités en charge de notre Santé continuent d’ignorer complètement ce constat et persistent à promouvoir plus de vaccins en nous imposant maintenant 11 vaccins obligatoires à partir de l’année 2018 en France, soit presque quatre fois plus qu’auparavant.

damaged-brainLe cerveau n’a pas la possibilité de tolérer autant de vaccinations répétitives et ce n’est pas nécessairement le Mercure et autres métaux lourds présents dans nos vaccins qui posent le plus gros problème. Tous ceux qui travaillent dans ce secteur sont convaincus de que le mercure est toxique pour le cerveau en développement, il n’y a plus de doute là-dessus. Le mercure s’adhère à la toxicité mais la toxicité la plus importante nous vient du nombre de vaccins appliqués et le fait que le système immunitaire soit sur-stimulé, une théorie qui ne fait désormais plus aucun doute dans la littérature scientifique. Quand on stimule puissamment et de manière répétitive le système immunitaire, la cellule immune du cerveau, la Microglie, s’active et commence à excréter des composés destructifs, des excitotoxines (comme l’Aspartame) et des citokines immunes desquelles il a été prouvé à travers de centaines d’études scientifiques que ces composés provoquent un développement cérébral anormal accompagné de la destruction de différentes zones du cerveau et différents types de neurones.

5085515417_c58922095eLa vaccination répétitive appliquée sur les animaux endommage le cerveau, c’est un fait; quand elle se réalise sur de jeunes animaux o durant la période de grossesse se reproduisent des pathologies telles que la schizophrénie ou l’autisme et nous savons que si une femme développe une infection virale durant sa grossesse, le risque de schizophrénie et d’autisme augmente énormément chez l’enfants au fur et à mesure qu’il grandit. Bien sûr, la schizophrénie ne se déclarera pas avant ses années d’adolescence car il existe une longue période entre la vaccination et l’apparition de la schizophrénie qui ne sera plus médicalement mise en relation avec le virus d’origine. C’est la réaction immune au virus de la mère qui fait que quand son système immunologique est activé, s’active également le système immunologique du cerveau du bébé et se produit un processus appelé immunotoxicité qui provoque le développement anormal du cerveau, la schizophrénie et l’autisme.

articleimagethumbnailQuand le système immunologique du corps est stimulé, s’active automatiquement le système immunologique du cerveau (qui est un système séparé), opéré par la cellule Microglie du cerveau. Quand cette cellule du cerveau est activée par le biais d’une infection naturelle, elle s’active, tue le virus ou la bactérie et s’éteint. Quand elle activée immunologiquement par le biais d’injections, comme dans le cas de la vaccination, la cellule s’allume mais ne s’éteint pas correctement. Quand on lui donne un autre vaccin un mois ou deux plus tard, cette cellule devient hyper-réactive et la seconde réaction est nettement plus intense que la première. Le cerveau se maintient donc dans cette état d’inflammation chronique, ce qui mène à des maladies chez l’adulte telles que l’Alzheimer, le Parkinson, la Sclérose latérale amyotrophique (ou syndrome de Lou Gehrig) ou encore la chorée de Huntington. Chez les bébés et enfants en bas âge, cette inflammation peut générer des problèmes dans le développement neurologique, des difficultés d’apprentissage et problèmes de mémoire, un déficit d’attention, l’hyperactivité, etc…

vaccine-bottle-and-syringeComme exemple des plus récents, la fausse pandémie du virus de l’H1N1 qui a conduit à la vaccination massive de millions d’enfants autour du monde ce qui causa plus de morts que le virus même, en plus de permettre une fois de plus aux multinationales de la pharmaceutique de réaliser d’énormes bénéfices avec l’argent du contribuable. On sait, aujourd’hui terminée la supposée épidémie, que l’administration du vaccin H1N1 a causé une énorme vague de convulsions chez les enfants de moins de quatre ans, un fait admis officiellement par le gouvernement de Grande Bretagne qui a payé 90 millions de dollars de compensations aux familles, même si nous n’observerons l’impact de cette schizophrénie que dans une décennie ou plus (Hundreds of Children Brain Damaged by the Swine Flu Vaccine to Receive $90 Million in Financial Compensation from UK Government, Globalresearch).

adhd_0Dans l’actualité on parle de la relation entre les pesticides et l’hyperactivité. En réalité, les pesticides font chimiquement ce que font les vaccins suite à l’injection: ils activent cette cellule immune de la Microglie dans le cerveau en produisant une inflammation cérébrale chronique qui mène à l’hyperactivité, l’autisme, la schizophrénie et prépare le sujet à une dégradation cérébrale chronique plus tard dans sa vie. C’est un fait bien démontré dans la littérature scientifique, particulièrement dans les neurosciences, mais qui continue d’être totalement ignoré par les médias, les autorités gouvernementales, les agences régulatoire et les promoteur de vaccins, laissant cette information complètement réduite au silence et écartée du grand public de façon à ce qu’il continue à recevoir ses cocktails de vaccins sans se préoccuper.

fda-approved-drug-400x240Quand on regarde les effets du très utilisé Glutamate monosodique (GMS) ou d’autres additifs alimentaires (colorants, agglomérants, conservateurs, arômes synthétiques…), il s’agit généralement ici aussi d’excitotoxines actives sur le cerveau et le comportement (tout comme l’aluminium ou le plombs), des éléments qui terminent dans nos systèmes des eaux et s’accumulent donc dans le reste de nos aliments, et qui ont des effets communs: troubles du comportement, des fonctions cérébrales, cognitives, de la mémoire et de l’apprentissage, désordres dégénératifs du cerveau, du système reproductif et ont des effets graves sur la santé avec la génération de différents types de cancers. bill-gates-vaccine_largeNous devons donc nous demander une fois de plus, si tous ces faits sont scientifiquement bien démontrés, pourquoi les organisations internationales suivies aveuglément par la grande majorité de nos gouvernements impulsent chaque fois plus de vaccins, sachant qu’ils raccourcissent notre espérance de vie et interfèrent avec notre habilité à pouvoir penser de façon claire? Pourquoi voudraient-ils que leurs populations deviennent petit à petit apathiques et incapables de penser clairement au moment de prendre des décisions comme des esprits pensants indépendants?

brainUn brin de réponse avec cette étude très complète d’Edward Dutton et Richard Lynn qui alerte sur le déclin exponentiel du Q.I (Quotient Intellectuel) depuis 1950, un fait sans précédent quand on parle d’un chiffre qui n’a jamais cessé d’augmenter depuis les origines de l’humanité. En signalant une perte de 4 point entre 1990 et 2009 en France, ce rapport parle d’un problème global qui touche de la même manière la Norvège, le Danemark ou le Royaume Uni. Selon l’Effet Flynn, théorisé par les deux spécialistes, le seuil maximum du Q-I aurait été atteint au siècle dernier, autour des années cinquante, pour de logiques raisons d’amélioration des conditions de vie générale. A noter que cette génération d’enfants qui fut la plus intelligente de notre histoire réalisera quinze années plus tard une révolution culturelle à échelle planétaire qui replantera un sérieux changement de paradigme pour toute l’humanité. A noter également que l’imposition de la révolution industrielle avec, entre autre, l’introduction de l’usage massif de pesticides et d’additifs alimentaires peut être directement mise en cause dans le surprenant inversement de cette courbe (A negative Flynn Effect in France, 1999 to 2008, Edward Dutton, Richard Lynn).

toxins-plate-crime-sceneDans “Comment la Pollution Environnementale Impacte l’Intelligence Humaine et la Santé Mentale”, l’endocrinologue Barbara Demeneix est très alarmiste au sujet de la notable dégradation des capacités intellectuelles de nos générations futures. L’universitaire pointe du doigt les perturbateurs endocriniens présents dans notre environnement (plastiques, pesticides…) et dans notre alimentation (additifs et contaminants) et affirme qu’ils représentent un sérieux obstacle durant le développement neurologique, des effets connus depuis les années 1970 mais que nos dirigeants continuent de minimiser et se nient à légiférer. La problématique des perturbateurs endocriniens avait déjà été développée dans un de nos précédents articles disponible ici et pour compléter ce présent article et pouvoir répondre à la grande question qui y est plantée, nous recommandons fortement la lecture de l’investigation complète dont est extrait cet article disponible ici uniquement en espagnol.

 

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